The Earth's protective ozone layer may fully recover in the next few
decades thanks to harmonized international action against ozone
depleting substances, a new assessment by the United Nations Environment
Programme (UNEP) and the World Meteorological Organization (WMO) reads.
"There are positive indications that the ozone layer is on track to recovery towards the middle of the century. The Montreal Protocol - one of the world's most successful environmental treaties - has protected the stratospheric ozone layer and avoided enhanced UV radiation reaching the earth's surface," said UN Under-Secretary-General and UNEP Executive Director Achim Steiner in a press-statement Wednesday.
Scientific Assessment of Ozone Depletion 2014 carried out by 300 scientists has found out that actions taken under the Montreal Protocol are enabling the return of the ozone layer to benchmark 1980 levels, as they led to a significant decrease in substances causing greenhouse effect. Moreover, according to UNEP, the Protocol will have prevented 2 million cases of skin cancer annually by 2030, averted damage to human eyes and immune systems, and protected wildlife and agriculture.
However, the report also warns that the rapid increase in certain substitutes for these substances, which are themselves also potent greenhouse gases, has the potential to undermine the gains.
The stratospheric ozone layer is a fragile shield of gas that protects the Earth from harmful ultraviolet rays of the sun. The Montreal Protocol on Substances that Deplete the Ozone Layer is an international treaty designed to protect the ozone layer by phasing out the production of numerous substances that are responsible for its depletion.
The treaty entered into force in 1989 and is ratified by 196 countries, including Russia. Without the Montreal Protocol and associated agreements, atmospheric levels of ozone depleting substances could have increased tenfold by 2050, according to UNEP.
[en.ria.ru]
11/9/14
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Related:
L’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) ont rendu publiques, mercredi 10 septembre, les conclusions de leur dernier rapport sur la couche d’ozone.
Encourageantes, celles-ci entérinent le succès du protocole de Montréal, adopté en 1987 par la communauté internationale pour protéger l’ozone stratosphérique.
Considéré comme un polluant lorsqu’il s’accumule au niveau du sol, l’ozone revêt au contraire une importance cruciale au sommet de l’atmosphère, où il joue le rôle de filtre à ultraviolets (UV).
UNE STABILISATION DEPUIS LE DÉBUT DES ANNÉES 2000
Les mesures prises dans le cadre du protocole de Montréal ont permis de bannir la plupart des composés chlorés et bromés responsables du célèbre « trou d’ozone » en Antarctique.
Mis à jour tous les quatre ans, le rapport indique que leur concentration atmosphérique a baissé de 10 % à 15 % par rapport au pic de la fin des années 1990.
Seul un composé, le tétrachlorure de carbone (CCl4), atteint des concentrations trop élevées par rapport aux émissions déclarées par les Etats.
Globalement, l’effet positif est cependant déjà tangible puisque les scientifiques notent une stabilisation du fragile bouclier anti-UV depuis le début des années 2000.
« On voit même l’ozone augmenter un peu dans la haute stratosphère, au niveau des latitudes moyennes de l’hémisphère Nord, explique Sophie Godin-Beekmann, chercheuse au CNRS et coauteure du rapport rendu par le PNUE et l’OMM. Au-dessus de l’Antarctique, on n’observe pas encore de franche remontée.»..........................................http://www.lemonde.fr/pollution/article/2014/09/10/la-couche-d-ozone-en-bonne-voie-de-guerison_4485413_1652666.html
11/9/14
"There are positive indications that the ozone layer is on track to recovery towards the middle of the century. The Montreal Protocol - one of the world's most successful environmental treaties - has protected the stratospheric ozone layer and avoided enhanced UV radiation reaching the earth's surface," said UN Under-Secretary-General and UNEP Executive Director Achim Steiner in a press-statement Wednesday.
Scientific Assessment of Ozone Depletion 2014 carried out by 300 scientists has found out that actions taken under the Montreal Protocol are enabling the return of the ozone layer to benchmark 1980 levels, as they led to a significant decrease in substances causing greenhouse effect. Moreover, according to UNEP, the Protocol will have prevented 2 million cases of skin cancer annually by 2030, averted damage to human eyes and immune systems, and protected wildlife and agriculture.
However, the report also warns that the rapid increase in certain substitutes for these substances, which are themselves also potent greenhouse gases, has the potential to undermine the gains.
The stratospheric ozone layer is a fragile shield of gas that protects the Earth from harmful ultraviolet rays of the sun. The Montreal Protocol on Substances that Deplete the Ozone Layer is an international treaty designed to protect the ozone layer by phasing out the production of numerous substances that are responsible for its depletion.
The treaty entered into force in 1989 and is ratified by 196 countries, including Russia. Without the Montreal Protocol and associated agreements, atmospheric levels of ozone depleting substances could have increased tenfold by 2050, according to UNEP.
[en.ria.ru]
11/9/14
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- La couche d’ozone stratosphérique est toujours convalescente, mais les scientifiques espèrent sa guérison avant 2050 dans la plupart des régions et une résorption complète du célèbre « trou dans la couche d’ozone » au-dessus de l’Antarctique vers la fin du siècle.
L’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE) ont rendu publiques, mercredi 10 septembre, les conclusions de leur dernier rapport sur la couche d’ozone.
Encourageantes, celles-ci entérinent le succès du protocole de Montréal, adopté en 1987 par la communauté internationale pour protéger l’ozone stratosphérique.
Considéré comme un polluant lorsqu’il s’accumule au niveau du sol, l’ozone revêt au contraire une importance cruciale au sommet de l’atmosphère, où il joue le rôle de filtre à ultraviolets (UV).
UNE STABILISATION DEPUIS LE DÉBUT DES ANNÉES 2000
Les mesures prises dans le cadre du protocole de Montréal ont permis de bannir la plupart des composés chlorés et bromés responsables du célèbre « trou d’ozone » en Antarctique.
Mis à jour tous les quatre ans, le rapport indique que leur concentration atmosphérique a baissé de 10 % à 15 % par rapport au pic de la fin des années 1990.
Seul un composé, le tétrachlorure de carbone (CCl4), atteint des concentrations trop élevées par rapport aux émissions déclarées par les Etats.
Globalement, l’effet positif est cependant déjà tangible puisque les scientifiques notent une stabilisation du fragile bouclier anti-UV depuis le début des années 2000.
« On voit même l’ozone augmenter un peu dans la haute stratosphère, au niveau des latitudes moyennes de l’hémisphère Nord, explique Sophie Godin-Beekmann, chercheuse au CNRS et coauteure du rapport rendu par le PNUE et l’OMM. Au-dessus de l’Antarctique, on n’observe pas encore de franche remontée.»..........................................http://www.lemonde.fr/pollution/article/2014/09/10/la-couche-d-ozone-en-bonne-voie-de-guerison_4485413_1652666.html
11/9/14
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